Quand le viol devient un «rite initiatique» pour rentrer dans la bande

Au moins trois viols en un an dans une même ville. La série de crimes à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) semble avoir été commise par des membres de la bande des «Candy Shop», à en croire les premiers éléments recueillis par la police. Surveillé par les services de renseignement, ce groupe violent avait pour habitude de se retrouver à La Défense (Hauts-de-Seine) ou à la Gare du Nord (10e).

Le phénomène n’est pas nouveau, tout comme celui des «tournantes». La plupart du temps, les délits commis par ces jeunes restent cantonnés à des incivilités, des agressions contre les forces de l’ordre, des bagarres, des deals de cité ou des trafics en tout genre.

Mais une pratique particulièrement inquiétante a été détectée par les services de police spécialisés dans l’observation des bandes. «Concernant certaines d’entre elles, généralement les plus structurées, nous avons eu des retours du terrain pouvant les mettre parfois en cause dans des affaires de viols», explique à 20 Minutes le commissaire divisionnaire Christian Hirsoil, sous-directeur de l’information générale (ex-RG) à la direction centrale de la sécurité publique. «Comme s’il s’agissait d’un rite initiatique, le jeune doit agresser, coincer et violer une jeune femme», poursuit-il, sans pouvoir lier l’affaire de Noisy-le-Grand avec ces usages.

Une sorte de défi est lancé au délinquant novice pour pouvoir entrer dans le groupe et se faire accepter par ses pairs. «Le groupe a remplacé la structure de la famille. En rejoignant une bande, le jeune y trouve une nouvelle autorité», analyse un policier. En 2012, 361 bandes ont été recensées en France.

20 Minutes

« Ils étaient blancs et esclaves, ils étaient juifs et négriers. » (1/2)

[En exclusivité pour Contre-info] Par Laurent Glauzy.

Peut-on réduire l’histoire de l’esclavage à l’homme noir ? Des esclaves blancs ont existé. Ont-ils moins souffert que les esclaves noirs ? Qui furent les véritables mercantis de l’esclavage ?

Rien n’interdit encore d’aborder la question de l’esclavage dans un esprit révisionniste et libre. L’IHR (Institute for Historical Review) propose deux ouvrages qui démontent le mythe de La Case de l’Oncle Tom : They Were White and They were Slaves (Ils étaient blancs et ils étaient esclaves) de Michael A. Hoffman et The Secret Relationship Between Blacks and Jews (Les relations secrètes entre les Noirs et les juifs) de Farrakhan. Dans Les différenciations raciales entre les Noirs et les Blancs, Thomas Jefferson relève que sous l’Empire romain au siècle d’Auguste, la condition des esclaves est bien pire que celle des Noirs dans le continent américain. Malgré cela, Epictète, Térence et Phèdre, esclaves de race blanche, furent les précepteurs des enfants de leurs maîtres. Au IXe siècle, des dizaines de milliers d’esclaves sont vendus sur les terres occupées par l’Islam, comme dans le Royaume de Cordoue. Les Vikings participent à ce commerce juteux. Les captifs sont blancs. Ils viennent d’Islande, d’Ecosse et d’Irlande. Les enfants, non rentables, n’ont pas été embarqués mais tués sur place et les drakkars s’en sont retournés chargés de denrées et de bijoux.

Du Xe au XVe siècle, la majorité des esclaves est issue des peuples slaves, d’où le mot tire son étymologie. Les femmes sont vouées à la prostitution, les hommes aux galères. La castration est courante. Peu y survivent. Avec la disparition des sociétés traditionnelles et le recul du catholicisme sous la poussée des protestantismes, des populations entières sombrent dans une profonde misère.

L’Angleterre concentre tous ces signes. Sa monarchie, très tôt liée aux desseins de la franc-maçonnerie, contribue à accentuer les souffrances d’un peuple contraint à un esclavage aujourd’hui cadenassé dans les amnésies du politiquement correct. Pourtant, cet esclavage, non répertorié comme tel et se développant en Angleterre, est bien plus cruel que celui qu’ont subi les pauvres Noirs d’Amérique. En 1765, sur vingt-trois enfants employés par l’entreprise St Clément Dane’s, dix-huit sont mortellement blessés. Soixante-quatre des soixante-dix huit enfants ouvriers d’une entreprise d’Holborn connaissent le même sort.
A St Qeorge’s Middlesex, seize enfants sur dix-huit meurent d’accidents du travail. En Angleterre, le taux de mortalité de cette main-d’œuvre enfantine est estimé à 90 %. Les rythmes imposés sont insoutenables. Les journées de travail durent en moyenne seize heures. Les enfants sont employés à nettoyer les conduits de cheminées dont, par souci d’économie, les foyers ne sont pas éteints. Les accidents sont nombreux. Mal ou pas rémunérés, les petits ramoneurs qui doivent mendier leur nourriture sont décimés par la tuberculose et le cancer des bronches. Dans The White Slaves of England, John C. Cobden décrit la cruauté des patrons.
En 1833, dans une usine de Manchester, un garçon de moins de dix ans est en retard. Il est contraint de porter autour du cou des poids de dix kilos. D’autres, meurent roués de coups. Dans les mines des dizaines de milliers d’enfants servent de bêtes de somme, attelés à des chariots. Dans les cimetières, les épitaphes témoignent de l’âge de ces esclaves : « William Smith, huit ans, mineur, mort le 3 janvier 1871 ». A l’entour, des enfants de quatre ans reposent dans les autres petites tombes. Dans The Factory System Illustrated William Dodd note qu’en 1846 plus de dix mille ouvriers anglais (en majorité des enfants), ont été blessés, mutilés ou déchiquetés par des machines.

En 1840, un médecin de Stockport voit mourir une jeune fille la chevelure happée par le roulement à billes d’une machine. John Randolph, Virginien de Roanoke, voyage en Irlande et en Angleterre, accompagné de son serviteur. Il écrit : « Je ne pensais pas être autant choqué par la misère des paysans du Limmerick et de Dublin. Johnny est même fier d’être un esclave noir de Virginie. Il était horrifié de voir des taudis, des blancs mourant de faim ». La vie des paysans du Sud de l’Angleterre, témoigne l’historien anglais William Cobbet, est pire que celles des esclaves noirs américains. En 1834, des fermiers du Dorset tentent de former un syndicat pour préserver de la famine les veuves et les orphelins. Ils sont déportés en Australie. Outre-Atlantique, le sort des esclaves blancs, premiers déportés dans le nouveau monde où l’appât du gain a aboli toute morale, est tout aussi inhumain.

En 1645, dans un courrier adressé au gouverneur du Massachusetts, John Winthrop, un certain George Downing conseille aux propriétaires qui veulent faire fortune dans les Antilles d’acheter des esclaves provenant d’Angleterre. En 1640, dans les plantations de canne à sucre des Iles de La Barbade (actuellement haut lieu de la Jet Society), 21 700 blancs sont recensés sur 25 000 esclaves. De 1609 à 1800, près des deux tiers des blancs arrivent en Amérique comme esclaves. Ils constituent la grande majorité de cette main-d’œuvre : il est moins difficile d’obtenir des esclaves blancs que des Nègres. Les chefs des tribus africaines doivent être saoulés par les marchands de « bois d’ébène ». Les Noirs ne sont capturés qu’après des traques qui durent de longues semaines dans des conditions excessivement périlleuses à travers les forêts et les savanes africaines. Le « rendement » est très mauvais. La plupart des captifs meurent, à bout de force, avant d’atteindre les bateaux. Les pistes sont jonchées d’ossements. Une bonne partie des survivants succombera pendant la traversée. En revanche dans les villes et la campagne irlandaise ou écossaises, les kidnappers – que l’édition 1796 du Dictionary of vulgar longue définit comme : « Personne volant des enfants pour les envoyer dans les colonies ou les plantations des Antilles » – fournissent à moindre frais des esclaves moins coûteux à livrer. Selon History of the United States, d’Edward Channing, dix mille enfants kidnappésont été déportés aux Etats-Unis en 1670. Michael A. Hoffman évoque le négoce du capitaine Henry Brayne : « En novembre 1670, son bateau quitte la Caroline. Il est alors chargé de charpentes qui doivent être livrées aux Antilles anglaises en échange d’une cargaison de sucre pour Londres. Ici, le Capitaine prend à bord deux cents à cinq cents esclaves blancs à destination de la Caroline ». Toutes ces raisons conjuguées au fait qu’un esclave blanc a moins de valeur qu’un noir habitué au climat tropical de la Virginie ou de la Floride, expliquent le prix très bas des esclaves blancs.

Par conséquent, les esclavagistes ne les ménagent pas : il les affectent aux tâches les plus dures et les plus répugnantes, les soumettent à des actes de maltraitance et de sadisme. Des enfants seront pendus par les mains à une corde, amputés et tués. Le trésorier de l’Etat de Virginie, George Sandys, atteste du peu de valeur d’un esclave blanc : il en échange 7 contre 150 livres de tabac. Dans A True and Exact History, Richard Ligon mentionne en 1657 le troc d’une esclave blanche contre un cochon. Dans les Antilles anglaises, les quatre cinquièmes des esclaves blancs meurent l’année de leur arrivée. Dans Sugar and Slaves : The Rise of the Planter Class in the English West Indies, l’historien Richard Dunn démontre que les plantations de canne à sucre des Antilles anglaises étaient le tombeau des esclaves blancs. Ecœuré par ces pratiques, le colonel William Brayne écrit en 1656 aux autorités anglaises pour demander l’importation d’esclaves noirs. Mais l’esclavage des blancs est encouragé par les hautes instances politiques et la Couronne. En 1615, le parlement anglais, soutenu par Charles Ier, donne tout pouvoir aux magistrats pour permettre la déportation des Anglais les plus pauvres. Sous le règne de Charles II (1630-1685), même le petit Pays de Galles n’est pas épargné.

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, des économistes insistent sur le « bien-fondé » de l’esclavage des blancs, main-d’œuvre qui permet le développement des colonies anglaises et favorise l’expansion de l’Empire britannique. En 1618, des aristocrates adressent une pétition au Conseil de Londres exigeant que les enfants qui errent dans les rues soient déportés en Virginie. En janvier 1620, des enfants tentent de s’enfuir de la prison de Briedewell. Une mutinerie éclate. On craint que le mouvement se généralise. Un courrier est envoyé au secrétaire du Roi, Sir Robert Naunton. Le 31 janvier, le Privy Council autorise à titre d’exemple le recours aux sentences capitales. Cela durera jusqu’au XIXe siècle, époque à laquelle les propriétaires d’usines de Nouvelle-Angleterre militent pour l’abolition de l’esclavage noir tout en exploitant sans vergogne les enfants blancs. Ce n’est pas une attitude nouvelle. Dès février 1652, les propriétaires des plantations ont obtenu la légalisation et l’extension du kidnapping des blancs. Les villes du Commonwealth voient les plus pauvres, accusés de mendicité partir chaînes aux pieds pour l’Amérique. Les juges perçoivent les pots-de-vin liés à ce trafic. La part de Sa Majesté n’est pas la moindre.

[suite la semaine prochaine]

Laurent Glauzy
Article tiré de Atlas de géopolitique révisée, tome I

lol!!!

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Une fatwa saoudienne – à effet immédiat – autorise les rebelles syriens à « se servir » sexuellement de fillettes de 14 ans

Al-Arifi, auteur de la fatwaAl-Arifi, auteur de la fatwa

Alors que le conflit syrien s’intensifie avec l’arrivée de combattants de différents pays arabes, le prédicateur saoudien Mohammed Al-Arifi a lancé une fatwa, un avis religieux autorisant les mariages temporaires des jeunes filles avec les combattants venus soutenir les rebelles de l’Armée syrienne libre (ASL).

Selon Al-Arrifi, le mariage de jouissance « Zawaj Almouta » avec des jeunes adolescentes à partir de quatorze ans est permis aux moudjahidines en Syrie.

Il leur est permis de se servir de femmes ayant atteint l’âge de 14 ans

Pour les combattants de l’ASL qui ne se seraient pas réunis à des femmes depuis deux ans, il est permis de « se servir » de femmes ayant atteint l’âge de 14 ans, de divorcées et de veuves, stipule la fatwa, afin de régler les problèmes sexuels chez les combattants syriens de l’armée libre (1).

Les combattants détiennent déjà un groupe de 13 filles

La chaîne libanaise arabophone Al Jadeed TV a révélé que dans la banlieue de Damas, l’un des groupes extrémistes composant les rebelles syriens détenait déjà un groupe de 13 filles ( dont 8 syriennes), et un groupe d’environ 220 hommes réunis à des fins sexuelles.

L’une des détenues, qui n’avait pas encore 16 ans, a déclaré en pleurant que son père l’avait sacrifiée pour le « Jihad », parce qu’il ne pouvait pas participer à des opérations de combat avec les »moudjahidines » (2).

Recevoir le sperme des « moudjahidines » est le billet d’entrée au Paradis

Selon le savant musulman, le mariage des filles « pendant quelques heures » leur favorise l’accès au « Paradis d’Allah » car les relations sexuelles lors d’un mariage temporaire avec des jeunes adolescentes sont permises et même encouragées, car recevoir le sperme des « moudjahidines » est le billet d’entrée au Paradis.

Ce cheikh est l’une des vedettes des télévisions des pays arabes. Il est notamment connu sur youtube pour avoir expliqué de quelle façon un bon musulman doit battre sa femme. Il est également l’auteur de propos antisémites et de déclarations insultantes sur les homosexuels.

Al-Arifi a affirmé que les femmes occidentales se « marient » avec des chiens et des ânes

Sur la chaîne saoudienne Al-Rissala, soutenue financièrement par les autorités religieuses, Al-Arifi a affirmé que les femmes occidentales se « marient » avec des chiens et des ânes et que 54% des femmes danoises ne savaient pas qui est le père de leurs enfants !

Le cheikh saoudien a été désigné persona non grata en Suisse, en novembre 2012, par l’Office fédéral des migrations (ODM) qui lui a interdit l’entrée en Suisse et dans l’espace Schengen.

Les salafistes wahhabites pratiquent le mariage temporaire des jeunes filles

Les salafistes wahhabites saoudiens sont adeptes des mariages temporaires de jeunes filles. Ce n’est pas la première fatwa qui autorise les relations sexuelles forcées avec des filles sous couvert de la notion de « mariage temporaire ».

Salih bin Fawzan, un dignitaire religieux membre du prestigieux Conseil islamique d’Arabie Saoudite, avait publié en 2011 une fatwa en affirmant qu’il n’y a pas de minimum d’âge pour le mariage, et que les filles peuvent être mariées, même si elles sont au berceau. Il s’appuyait sur le Coran 65:4, qui traite du mariage aux femmes qui n’ont pas encore eu leurs règles (sont pré-pubères). Fawzan conclut sa fatwa par un avertissement :

Il incombe à ceux qui appellent à fixer un âge minimum pour le mariage de craindre Allah et de ne pas contredire sa loi (sharia), ou d’essayer de légiférer les choses qu’Allah n’a pas permises. Les lois sont la souveraineté d’Allah, et la législation est son droit exclusif, ne devant être partagé par aucun autre. Et parmi ces lois figurent les règles qui régissent le mariage. »

L’ancien grand mufti d’Arabie Saoudite a encouragé « le mariage des enfants »

Même l’ancien grand mufti d’Arabie Saoudite, Cheikh Abd al-Aziz ibn Abd Allah ibn Baaz, a encouragé « le mariage des enfants », puisque « le Coran et la Sunna l’approuvent » . (Fawzan fut un élève de Bin Baz).

Au Maroc, une fatwa similaire avait autorisé, en 2007, le mariage des fillettes à partir de neuf ans. Pour appuyer sa fatwa, Mohamed ben Abderrahmane Al-Maghraoui avait cité l’exemple de Mahomet qui se serait marié avec l’une de ses épouses (Aïcha) âgée de neuf ans.

Qaradawi, dirigeant du Conseil européen de la fatwa, épousa une fillette de 14 ans.

Le religieux le plus populaire du monde arabe, Youssef Qaradawi (86 ans) et dirigeant du Conseil européen de la fatwa, épousa une fillette qui avait 14 ans.

Le mariage temporaire, « bénédiction de Dieu »

Le mariage temporaire est tout à fait naturel, d’un point de vue islamique. Il est même décrit comme « une bénédiction de Dieu » par les premiers musulmans. Le Coran le déclare licite :

Ô les croyants ! Ne déclarez pas illicites les bonnes choses que Dieu vous a rendu licites. Et ne transgressez pas. Dieu n’aime pas les transgresseurs » [Coran 5 :87]. Ce verset fait indirectement allusion au mariage temporaire.

Un autre verset un peu plus clair va jusqu’à énoncer la nécessité de recourir au mariage temporaire :

Puis de même que vous jouissez d’elles, donnez-leur leur récompense comme une chose due. Il n’y a aucun péché contre vous à ce que vous concluez un accord quelconque entre vous après la fixation de la récompense. Dieu est savant, sage » [Coran 4 :24].

Ce verset fait directement allusion au mariage temporaire, appelé également « de jouissance ». Le verbe « jouir » est employé pour dire que le but principal de ce mariage est de satisfaire son désir.

Quand le désir sexuel de l’homme s’entend, qu’il est à son comble, ce type de mariage devient nécessaire.

Contrairement au mariage ordinaire musulman, le mariage temporaire est à durée déterminée. Son temps peut être fixé par exemple à quelques heures, voir une semaine ou un mois. Toutes les durées sont possibles, tout dépend des circonstances. Le mariage temporaire n’est pas fait pour fonder une famille mais pour satisfaire des désirs sexuels dans l’immédiat. Quand le désir sexuel de l’homme s’entend, qu’il est à son comble, ce type de mariage devient nécessaire.

Selon la législation islamique, les musulmans s’accordent aussi sur le fait que le Prophète Mahomet a institué ce mariage temporaire.

Le mariage temporaire, tradition islamique pour « le repos du guerrier »

La plupart des juridictions civilisées considèrent qu’un enfant en dessous de l’âge de la majorité sexuelle, ne peut valablement consentir à un rapport sexuel, à l’exception de l’Islam, qui a connu cette pratique mise en place pour assurer, en autres, « le repos des guerriers musulmans ».

Le mariage temporaire « Zawaj Almouta » ( appelé aussi Nikâhoul Mout’ah) est une pratique qui est apparue au début de l’Islam lors des conquêtes. Les érudits musulmans le justifient par l’extrême nécessité de ce genre de mariage où se trouvaient les Compagnons de Mahomet à ce moment-là, surtout que la plupart d’entre eux venaient à peine d’embrasser l’Islam et souffraient d’un célibat acerbe accompagné de la rareté de femmes (3).

Le mariage temporaire était une autorisation exceptionnelle, au début de l’Islam, pour celui qui était dans le cas de force majeure (comme pouvoir manger une bête morte, du sang et de la chair de porc). Il était consommé principalement au cours du Jihad, lorsque les femmes étaient rares par rapport au nombre de guerriers musulmans.

Le Prophète lui même avait autorisé cette pratique pour les combattants qui étaient autour de lui, et qui éprouvaient des désirs sexuels forts avant et après les combats. Le mariage temporaire est donc authentique en Islam, puisque il est cité dans le « Sahih » le livre officiel où sont rapportées les paroles véridiques du Prophète. C’est la seconde source d’inspiration de la législation islamique après le Coran (4).

Le mariage temporaire, qui est décrit comme « une bénédiction de Dieu » pour les premiers musulmans, n’était pas pratiqué sans abus. Le Prophète, au cours de certains de ses voyages où ses compagnons se trouvaient loin de leurs épouses, et éprouvaient une certaine difficulté à supporter les privations sexuelles, autorisait ceux-ci à contracter des mariages temporaires.

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Ce mariage du désir était aussi un élément de conquête et de propagation de l’Islam. La dispersion des Compagnons du Prophète dans les territoires nouvellement conquis et leur mélange avec les peuples convertis de fraîche date permettaient le mélange de sang avec celui des nouveaux convertis.

Cette pratique autorisée par le fondateur de la Communauté islamique (Oumma) permettait à la fois aux guerriers musulmans de satisfaire leurs désirs de chair fraîche, et de faire avancer la cause de l’Islam.

Le premier calife qui a succédé au Prophète, Abu Bakr Al-Siddiq, n’a fait que confirmer la tradition prophétique. Ce n’est qu’à l’époque du deuxième calife, Omar ibn Al-Khattab que les choses ont changé. Ce dernier finit par interdire momentanément le mariage temporaire après la mort du Prophète et d’Abou Bakr, étant donné que les premiers musulmans en avaient abusé.

Le mariage temporaire de retour dans le monde musulman

Une partie des musulmans considère que l’abrogation de ce mariage de jouissance n’est plus valide aujourd’hui, car les sources islamiques affirment, en se basant sur des rapports traditionnels, que ce mariage n’a pas été abrogé définitivement. Les jurisconsultes estiment que la prohibition était d’ordre administratif, car le deuxième calife Omar ibn Al-Khattab aurait dit : « Il y avait, au temps du Prophète, deux jouissances qu’il avait permises. Quant à moi, je les interdis et je punirai ceux qui s’y adonneront « .

Ils appuient leurs positions sur le principe islamique qui dit que «personne ne pourra interdire ce qui a été permis par le Messager de Dieu». On doit comprendre que la prohibition en question était administrative, dictée par un intérêt limité, à un moment bien déterminé.

Les jurisconsultes citent une autre tradition émanant de l’imam Ali (cousin du prophète de l’Islam) qui dit: « Si Omar n’avait pas prohibé le mariage de jouissance, personne en dehors des malheureux n’aurait commis l’adultère », ou selon, une autre version, « très peu de gens auraient commis l’adultère ».

Le 4e calife de l’Islam (656-661) a restauré le mariage de jouissance

Pratiqué depuis des années par les salafistes, en Algérie, en Tunisie, au Maroc ainsi qu’en Égypte

C’est donc sous cet angle qu’on peut expliquer le retour au mariage temporaire dans le monde musulman. Il est connu sous le nom « sigheh» en Iran et dans les communautés chiites, et « zawaj Al moutâa » (mariage de jouissance) dans le monde sunnite. A signaler que ce dernier est pratiqué depuis des années par les salafistes, en Algérie, en Tunisie, au Maroc ainsi qu’en Égypte. Ils proposent aux jeunes, notamment dans les milieux estudiantins, pour ne pas consommer leur union dans le péché, de le conclure devant deux témoins, afin de légitimer leur union devant Dieu.

Cette nouvelle fatwa saoudienne autorisant les mariages collectifs de jeunes filles par les « moudjahidines » ne fait que confirmer cette tendance.

La nouvelle fatwa pour les moudjahidines, incitation au viol en temps de guerre ?

Mohammed Al-Arifi, comme on vient de le voir, n’est pas le premier à insister sur la légitimité de la pédophilie en Islam. Il ne faut pas se tromper, la Sharia n’est rien moins qu’un système juridique construit sur la base des mots et des actes du 7e siècle, dont le comportement – de la pédophilie à l’esclavage à la guerre et au pillage – a été celui des Arabes au 7ème siècle.

Les pays européens, par cynisme raciste, refusent de rapporter les violences sexuelles du camp des rebelles.

Mais cette nouvelle fatwa ajoute à la détresse des femmes de Syrie, déjà en proie à la guerre civile. Les femmes subissent, depuis 22 mois, toutes sortes de sévices perpétrés par les « moudjahidines » (mais aussi par les forces de l’ordre syriennes). Le dernier rapport des Nations unies sur la Syrie a évoqué les viols comme l’un des crimes contre l’humanité infligé à la population civile (6). Les pays européens refusent jusqu’à présent de rapporter l’utilisation des violences sexuelles par le camp des rebelles.

Mis à part le fait que cette fatwa, qui est immédiatement entré en pratique, incite au viol des jeunes adolescentes, ce qui est condamné par la Convention internationale des droits de l’enfant, elle peut aussi être qualifiée d’incitation aux viols en temps de guerre, ce qui est encore plus grave au sens du droit international.

Le 27 juin 1996, pour la première fois dans l’histoire, le Tribunal pénal international de la Haye avait qualifié le viol contre les femmes commis en temps de guerre de crime contre l’humanité (7).

En 2008, une résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU a défini le viol comme une « arme de guerre ».

Cette fatwa saoudienne est donc un crime contre l’humanité, elle encourage le viol comme arme de guerre dans les conflits.

Le silence de l’occident face à cette fatwa, dans la situation que traverse le peuple syrien, équivaut à légaliser le viol en temps de guerre, mais aussi la torture, la barbarie ou l’extermination au nom de l’Islam.

Les témoignages d’agressions sexuelles de femmes et de jeunes filles ne manquent pas, en Syrie, et cela va empirer avec cette fatwa, qui autorise jusqu’au viol collectif de fillettes par les milliers de moudjahidins (7).

Les Syriens se souviendront, dans le traumatise de cette guerre civile, que le cheikh Mohammed Al-Arifi a légalisé, par sa fatwa « les maisons d’abattage Hallal », à la gloire des premiers guerriers musulmans d’Arabie.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Souhail Ftouh pour www.Dreuz.info

  1. Voir l’information ici, sur la chaîne libanaise arabophone Al Jadeed TV :
  2. Voir le lien en arabe : http://www.aljadeed.tv/MenuAr/news/DetailNews/DetailNews.html?id=46600
  3. Ainsi que relève ce motif Abdullah Ibn Mas’oud en ces termes : « Nous partions au combat avec le Messager d’Allah alors que nous n’avions pas de femmes. Nous nous sommes donc dit : pourquoi ne pas se castrer ? Le Prophète nous l’y interdit et nous autorisa d’épouser temporairement la femme contre l’habit ». Rapporté par Al-Boukhari (4784) et Mouslim (1404). Beaucoup de savants ont mentionné ce motif comme c’est le cas avec Ibn Hajr dans Fatwoul Bâry (9/170 – 171) qui dit : « … Ceci n’était fait qu’au cours du Jihad et les femmes étaient rares. »
  4. C’est ainsi que Jabir ibn Abdallah et que Salameh ibn Accou‘a, deux grands Compagnons du Prophète de l’Islam rapportent qu’un messager du Prophète est venu et a dit : « Le Prophète de Dieu vous a permis de pratiquer le mariage temporaire » (Sahih Muslim). Cette parole citée dans le Sahih de l’imam Muslim est indiscutable. La deuxième preuve de l’authenticité de cette parole est qu’elle est rapportée par deux grands Compagnons du Prophète, qui sont dignes de confiance.
  5. Nous retrouvons Jabir Ibn Abdallah qui rapporte une autre parole dans le livre de l’imam Muslim dans son Sahih : « Nous avons pratiqué le mariage temporaire durant la vie du Prophète (Paix sur lui) et ensuite Omar nous a interdit de le pratiquer et nous n’y avons plus jamais recouru ». Dans le même Sahih, on a la même parole rapportée par Ibn Abbas qui est une référence à lui seul pour les Musulmans, ce qui est une autre preuve.
  6. Navi Pillay, haut commissaire des Nations unies pour les droits de l’Homme, a déclaré, le 11 septembre 2012, que les tueries de masse et la torture étaient devenues « la norme » en Syrie, insistant pour que ces crimes soient portés devant la Cour pénale international.
  7. Voir le dossier de Foca dans le dossier de l’ex-Yougoslavie, du nom d’une ville bosniaque, établit qu’en avril 1992, une partie des forces armées serbes et surtout des paramilitaires se sont notamment livrés à des viols1systématiques, collectifs et accompagnés de sévices et de meurtres de femmes et de petites filles.
  8. Selon un rapport des Nations unies publié en novembre 2011, il rapporte que plusieurs femmes ont été frappées au niveau des parties génitales, contraintes de faire des fellations, soumises à des séances d’électrochoc et à des brûlures de cigarettes sur l’anus. Des témoignages recoupés par HRW dans son rapport de juin dernier affirment que des rebelles ont capturé une femme et lui ont inséré un rat dans le vagin.

les femmes non voilées sont de la viande à violer!!

http://youtu.be/_b6rtkbNqgI

L’EFFET D’UNE BOMBE – Selon Arte, la catastrophe de Fréjus serait un attentat du FLN

L’EFFET D’UNE BOMBE – Selon Arte, la catastrophe de Fréjus serait un attentat du FLN dans Non classé Capture18Capture d’écran du site de l’INA.

La chaîne de télévision Arte a fait une révélation surprenante, passée inaperçue, dans un documentaire allemand diffusé mardi à 22 heures. Une information reprise jeudi par Emmanuel Berretta sur son blog du Point. Selon les services secrets d’Allemagne de l’Ouest, la rupture du barrage de Malpasset, qui a fait plus de quatre cents morts à Fréjus, le 9 décembre 1959, aurait été provoquée par un attentat du FLN.

La version officielle, établie en France en 1971 par le Conseil d’Etat, privilégie la thèse de l’accident. Une faille située à la base du barrage, une roche pas assez homogène… C’est le mauvais choix de son emplacement qui a été mis en avant pour expliquer cette catastrophe quand le barrage, haut de 61 mètres, a laissé échapper 50 millions de mètres cubes d’eau qui ont déferlé dans la vallée en une vague de 5 mètres de hauteur.

Mais d’après ce documentaire – réalisé par la chaîne régionale allemande WDR, et qui se fonde sur des archives des services secrets allemands, de la RFA et de la Stasi –, des activistes algériens du Front de libération nationale (FLN) seraient à l’origine de cet accident, un attentat, donc. Des historiens allemands ont trouvé des documents prouvant que l’agent ouest-allemand Richard Christmann aurait prévenu sa hiérarchie sur le lieu et la date de cet attentat, mais que les services du renseignement allemands auraient décidé ne pas prévenir leurs homologues français.

Si le chancelier Adenauer soutenait officiellement le général de Gaulle, l’Allemagne de l’Ouest faisait montre d’une certaine tolérance à l’endroit des membres du FLN qui résidaient sur son territoire, ainsi qu’à l’égard de ceux qui leur fournissaient des armes. A l’époque, le général de Gaulle s’était d’ailleurs plaint de ce double jeu allemand. Une histoire à (re)découvrir dans ce très bon documentaire accessible ici (le passage sur la catastrophe de Fréjus est à la 42e minute).

le retour des islamistes

une vidéo à regarder, vrais très interressante!!

http://youtu.be/mYhhdTy0B9g

nouvelle carte d’europe

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Délinquance : on ne nous dit pas la vérité !

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Alexandre
Giuglaris
Délinquance : on ne nous dit pas la vérité ! dans Non classéDélégué général de l’Institut pour la Justice.

Entretien réalisé par Claire Verdier.

Le ministre de l’Intérieur a commenté les chiffres communiqués par l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Et a ainsi tenu à rappeler les grandes lignes de sa politique de sécurité. Boulevard Voltaire a demandé à Alexandre Giuglaris, délégué général de l’Institut pour la Justice, sa réaction.

Comme il l’a déjà annoncé à plusieurs reprises, Manuel Valls a répété vouloir réformer « l’appareil statistique pour le rendre totalement transparent ». Qu’en pensez-vous ?

Qui peut être contre cet objectif ? Personne. Et nous nous réjouissons, à l’Institut pour la Justice, de cette volonté de transparence. Maintenant, tout dépend de ce que l’on entend par transparence.

Il est nécessaire de publier des indicateurs qui permettent aux décideurs politiques et surtout à l’opinion publique de connaître l’état de la criminalité dans notre pays. Le point essentiel est donc de savoir dans quelle mesure on peut faire confiance à ces chiffres.

Pour 2012, on nous explique que les changements de l’appareil statistique, en zone gendarmerie, faussent les résultats qui sont évidemment en hausse pour les violences physiques. Mais on nous annonce déjà qu’en 2013, le changement de l’appareil statistique en zone police faussera les résultats. Quand cessera-t-on de vouloir cacher la vérité ? Pourtant, Manuel Valls faisait part, en novembre dernier, de sa préoccupation face à la hausse des violences aux personnes…

Que veulent dire ces chiffres ? Que révèlent-ils ?

Ils révèlent surtout une trop grande diversité de données, difficiles à analyser. Ainsi, on se réjouit, à juste titre, de la baisse des homicides, qui concerne pourtant moins de 500 cas par an. Mais, dans le même temps, l’ONDRP a constaté en zone police, dont les chiffres ne sont pas contestables, une hausse de 8,5 % des vols à la tire (plus de 6 000 faits en plus) ou de 4,7 % des vols simples (ce qui représente une hausse de plus de 11 000 faits).

Pourtant, il ne faut jamais oublier que les chiffres annoncés ne donnent que la mesure de la délinquance enregistrée à la suite de plaintes. Une très large partie de la criminalité échappe donc à ces statistiques.

Ne fait-on pas dire aux chiffres ce que l’on veut ?

Cette question est légitime. L’ONRDP a découvert, par exemple, que le nombre de week-ends dans un mois pouvait modifier les résultats en faisant reporter au mois suivant certains actes… Sans parler du fait que, il y a deux ans, le ministère de la Justice a donné comme instruction de ne plus prendre de plainte pour les débits frauduleux commis sur internet sans dépossession de sa carte bancaire.

C’est pourquoi, on devrait avant tout s’intéresser aux chiffres des enquêtes de victimation menées depuis 2007 par l’INSEE et l’ONDRP. Elles mettent en lumière une réalité bien plus inquiétante : seulement 10 % des victimes de violences conjugales ou des victimes de viols vont jusqu’au bout de la procédure du dépôt de plainte ! 30 % pour les victimes de violences physiques et 50 % pour les victimes de vols avec violence…

Et vous, quelle réalité observez-vous ?

Celle que l’on retrouve dans le dernier livre de Laurent Obertone, la France orange mécanique. L’auteur évoque des chiffres terribles que nous ne cessons de dénoncer. Toutes les 24 heures, il y a 13 000 vols, 2 000 agressions et 200 viols en France. C’est cela, la réalité de la criminalité dans notre pays !

Tant mieux si le gouvernement mesure mieux la criminalité que par le passé. Mais sa responsabilité va très vite se poser sur les réformes qu’il met en œuvre. La politique pénale conduite par Christiane Taubira, qui consiste à supprimer les peines plancher, la rétention de sûreté, les tribunaux correctionnels pour les mineurs récidivistes les plus dangereux ou à vouloir réduire le nombre de personnes envoyées en prison, ne peut qu’inquiéter…

Si Manuel Valls ou François Hollande pensent qu’on a sous-estimé ou caché l’importance de la délinquance dans notre pays, vont-ils maintenir ces mesures laxistes qui créent un sentiment d’impunité particulièrement préjudiciable ou changer de politique pénale pour assurer la sécurité des Français ? L’enjeu essentiel est celui de la réponse pénale face à cette criminalité grandissante.

Alexandre Giuglaris, le 23 janvier 2013

L’argent des contribuables au service des dealers !

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Nicolas
Gauthier
Journaliste, écrivain.
L’argent des contribuables au service des dealers ! dans Non classéNicolas Gauthier est auteur avec Philippe Randa des Acteurs de la comédie politique. 29 € À commander en ligne sur francephi.com.

L’immédiateté d’Internet fait que tout s’accélère tandis qu’une information chasse l’autre. Pourtant, certaines méritent d’être rappelées, même si a priori périmées : le 10 janvier dernier, ce n’est pourtant pas Jurassic Park ! Ainsi, notre confrère Arnaud Folch, dans l’hebdomadaire Valeurs Actuelles, nous apprend que l’association ASUD (Autosupport des usagers de drogues), recevrait 400 000 euros de subventions annuelles, dont une part viendrait du ministère de la… Santé.

Certes, nous ne contestons pas les compétences de l’ASUD. Avec eux, on apprend, sur seize pages d’une brochure à l’élégante maquette et tirée à 10 000 exemplaires, comment faire la différence entre le « bon » et le « mauvais » LSD, quels champignons hallucinogènes il faut gober ou non, quelle cocaïne ou héroïne il faut choisir – bio ou pas, participant au développement durable ou non. Idem pour le shit. Colombien ou libanais ? Afghan ou marocain ? C’est mieux que le Guide Pudlowski. De mon temps, mais c’était il y a longtemps, il s’agissait là du boulot des dealers, alors profession à risque… Qu’auraient dit ces ancêtres précurseurs s’ils avaient su que leurs successeurs seraient, en quelque sorte, partie prenante de la médecine conventionnée ?

À propos d’amphétamines, l’ancêtre de l’ecstasy, qui permet de rebondir trois jours et autant de nuits durant, dans les raves, la boue et devant des enceintes vous massacrant les tympans avec de la musique faite à la presse hydraulique, Arnaud Folch cite :

Un conseil : gobez plutôt que sniffer (même la poudre peut être empaquetée dans une feuille à rouler.) Outre vous taper grave sur les neurones (le speed est une drogue neurotoxique), l’abus d’amphétamines va rapidement faire tomber vos dents et vous transformer en squelette. Sachez user sans abuser.

Et c’est là qu’on voit que l’argent de ce même contribuable, lequel se verra sûrement retirer son permis pour avoir bu trois Pastis plutôt que deux, est employé à bon escient… Contactée par notre confrère, la Direction générale de la Santé aurait refusé de s’expliquer. Sans blague ! On refuse de le croire… En revanche, nous sommes soulagés en apprenant que, selon l’ASUD, sur cinquante drogues testées, une seule serait « potentiellement mortelle », l’héroïne, même si la brochure en question vante sa « douce chaleur » et les « préliminaires plutôt sensuels, voire affectueux » qu’elle procure…

Toujours plus fort, ce dernier conseil prodigué par l’ASUD :

Le speedball en shoot, la meilleure drogue du monde. Ça y est, c’est dit ; Après tout, ce n’est pas bien de mentir ? Deux tiers de coke, un tiers d’héroïne (de la thaïlandaise n°4, s’il vous plaît), cinq centilitres d’eau froide et paf : l’équilibre parfait, le nirvana, la fraicheur cristalline d’un lac de montagne sur canapé de moiteur sensuelle. On tutoie les sommets parmi les edelweiss avant de se laisser douillettement envelopper par les bras d’Aphrodite…

Fort bien. Pour le moment, Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, interpellé sur l’affaire, est aux abonnés absents.

Hormis Boulevard Voltaire, à ce jour, les médias ne pipent mot.

En attendant, le petit vin blanc sous la tonnelle, même amélioré d’absinthe, n’avait pas que du mauvais. L’hygiénisme ambiant est décidément à deux vitesses.

Nicolas Gauthier, le 23 janvier 2013
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